Format : | 33 tours / 30cm / LP |
Pays : | France |
Sortie : | novembre 2011 chez Philips |
Voir : | Alain BASHUNG |
Face A : | 1. L’homme à tête de chou - 2’42 |
2. Chez Max, coiffeur pour homme - 1’12 | |
3. Marilou reggae - 2’35 | |
4. Transit à Marilou - 1’31 | |
5. Flash forward - 2’18 | |
6. Aéroplanes - 2’09 | |
7. Premiers symptomes - 2’25 | |
Face B : | 1. Ma lou Marilou - 3’06 |
2. Variations sur Marilou - 9’00 | |
3. Meurtre à l’extincteur - 3’16 | |
4. Marilou sous la neige - 2’38 | |
5. Lunatic asylum - 3’21 | |
Crédits complémentaires : | Interprétation : Alain Bashung Orchestration, arrangements : Denis Clavaizolle Claviers, piano, programmations, guitares, basses : Denis Clavaizolle Programmations : Jean Lamoot Trompette : Erik Truffaz Guitare : Frédéric Havet Percussions : Pierre Valéry Lobé et Mamadou Koné Batterie : Yann Clavaizolle Violon : Aurélie Chenille Violoncelle : Guillaume Bongiraud Chœurs : Morgane Imbeaud |
Présentation : | Le chorégraphe Jean-Claude Gallotta a créé un spectacle de danse contemporaine en collaboration avec Alain Bashung pour l’interprétation et Denis Clavaizolle qui en réalise toutes les orchestrations et compose les musiques additionnelles. Ce projet mené en 2008 n’a pu totalement aboutir avec la mort de Bashung qui devait interpréter sur scène l’album revisité et complété par Denis Clavaizolle (afin de l’allonger en durée). Denis Clavaizolle s’est efforcé dans les derniers mois de 2008 d’aboutir à une bande enregistrée suffisante en évoquant lors de rencontres avec l’artiste des couleurs et ambiances sonores style The Doors, Mahler, Captain Beefheart, afin de permettre à Gallotta d’aller au bout du projet chorégraphique qu’il peut présenter le 12 novembre 2009 lors de la création à la MC2 de Grenoble7. Par rapport à l’album, Denis Clavaizolle a pensé les musiques additionnelles et les arrangements et orchestrations comme une musique de film pour évoquer la tension, la jalousie, le sexe, la folie, la violence tout au long de ce Ballet « Je pense qu’il faut envisager cet album comme un scénario, et créer dans la musique les sentiments que l’on ressent dans le texte ». (texte de Wikipédia) |